Dirigé par Hernan Crespo, un Defensa y Justicia offensif a remporté la Copa Sudamericana, succédant à l’Independiente del Valle.
Un football fait de mouvements, de liberté balle au pied, de symbiose sur le plan tactique et technique, qui encourage la prise de risque et que les joueurs conçoivent collectivement. L’Observatoire du beau jeu se concentre sur ce qu’on peut appeler l’harmonie, ce que le CNRTL définit comme une “combinaison spécifique formant un ensemble dont les éléments divers et séparés se trouvent reliés dans un rapport de convenance, lequel apporte à la fois satisfaction et agrément”. Comme annoncé dans le premier épisode, il ne se limitera pas aux équipes européennes.
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Defensa y Justicia (club au nom génial) succède à l’Independiente del Valle dans cette rubrique comme il lui a succédé au palmarès de la Copa Sudamericana. Le club de la banlieue sud de Buenos Aires a remporté le premier titre majeur de son histoire le 23 janvier. Le dernier ? La troisième division argentine en 1997, alors que Crespo, entraîneur des Jaune et Vert, explosait en Serie A.
Cheveux courts, poivre et sel désormais, Hernan n’en est pas à sa première expérience sur un banc. Après les formations de jeunes de Parme et l’équipe première de Modène en Italie, il avait découvert le championnat argentin à la tête de Banfield. Limogé par ses deux derniers clubs, il était mal embarqué pour atteindre son objectif : devenir le meilleur entraîneur de tous, comme il l’avait déclaré dans un entretien accordé à Ole en 2016 et traduit par Lucarne Opposée.
Les dernières semaines l’ont replacé dans la lumière.